Petits traités… une collection pour aborder la philosophie autrement

déjà paru dans la collection « Petits traités »

Christophe Laquieze, Petit traité de la mort, à l’usage des bons vivants

octobre 2024, 128 pages, 9,90 euros

QUOI DE MIEUX QUE DE PENSER À LA MORT POUR VIVRE INTENSÉMENT ET SAVOURER LA VIE !

Les Hommes meurent depuis la nuit des temps, pourtant, l’angoisse et le mystère persistent. Et si, au lieu de l’éviter comme nous esquivons un coup, nous nous rapprochions de notre finitude afin de percevoir en elle le moyen de mieux l’accepter ?

Il n’est pas si évident de mourir, tout comme il n’est pas si simple de faire revivre nos défunts malgré le vide causé par leur perte. Ce petit traité philosophique ne parle pas de la vie avant la vie, ni de la vie après la mort, mais de la vie dans la vie.

Réfléchir sur la mort pour revenir dans le mouvement de l’existence, s’enfoncer dans les méandres de nos angoisses pour ne plus marcher à côté de sa destinée.

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Mathias Leboeuf, Petit traité de la lenteur, à l’usage des gens pressés

octobre 2024, 172 pages, 12,90 euros

Être lent dans un monde agité.

De quoi la lenteur est-elle l’affirmation positive ? Peut-on la penser dans sa propre immanence ? Pourquoi sommes-nous systématiquement amenés à la détester ? N’y a-t-il pas de belles lenteurs ?

La lenteur a toujours été définie sous les sceaux du négatif et du manque. Manque de rapidité à réagir, à effectuer une action, à répondre, à avancer… En un mot, la lenteur fait toujours défaut. Il y a comme une impossibilité à la définir pleinement, par et pour elle-même.

Ce petit traité philosophique n’est pas un éloge. Son ambition est d’arriver à débusquer les significations de la lenteur et ce qu’elle convoque irrémédiablement — l’agacement, l’attente, la déception…

Mais aussi de faire émerger, par petites touches, un concept de lenteur et le personnage conceptuel de « l’être-lent ».

Lire l’article qui lui a été consacré dans Boojum.

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Pascal Bataille, Petit traité du silence, à l’usage des gens bruyants

avril 2025, 220 pages, 12,90 euros

N’est-il pas infiniment paradoxal de prétendre discuter du silence ? Ce dernier se définit-il autrement que par une absence, celle de la parole et du bruit ? Quelle est la vérité, l’immanence de ce silence, dont le Talmud dit qu’il « est d’or » quand « la parole est d’argent » ?

Dans ce petit traité, nous interrogeons avec jubilation cette notion aussi riche que polymorphe : le silence qui en dit long, le silence qui est musique, le silence méditatif, le silence du menteur, le silence de l’ignorant comme celui du sage, le silence de l’amour et celui de la rupture, le silence de l’absence et de la mort, celui de la censure et de l’asservissement, le silence dans toute sa beauté et tout son pouvoir…

Sans en être une apologie, cet ouvrage se veut néanmoins un plaidoyer pour un nouvel usage du silence dans notre quotidien, une incitation à le faire parler, résonner, raisonner, chanter, évoquer, raconter ; à l’apprivoiser.

APPRENONS ENSEMBLE À L’ENTENDRE ET À L’ÉCOUTER.

Lauréat du prix littéraire Jean Nohain 2025

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François Belley, Petit traité des idées, à l’usage de ceux qui veulent se faire entendre

Septembre 2025, 156 pages, 12,90 euros

CE PETIT TRAITÉ EST UN COLT !

D’où viennent les idées ? Comment apparaissentelles ? À quoi servent-elles ? Et pourquoi, à l’homme encore flanqué ici-bas, se présententelles comme l’arme de poing la plus efficace ?

Ce petit traité ne s’adresse pas à ceux qui parlent mais à tous ceux qui ont des choses à dire, notamment dans le monde de la culture et de l’art, de la publicité et du journalisme, de la politique et du commerce.

À la frontière de la philosophie, des sciences de l’information et de la communication, cet ouvrage tend la main à tous ceux qui veulent se faire entendre dans le monde des idées. L’époque le demande. C’est même une nécessité.

Ce Petit Traité des idées s’emporte avec vous. Il se porte et s’utilise comme un colt.

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Marc Alpozzo, Petit traité de la vertu, à l’usage des gens qui ne sont pas sages

Septembre 2025, 132 pages, 9,90 euros

La vertu comme antidote à la barbarie

Pourquoi la vertu est-elle si discréditée ? Ne pourrions-nous pas imaginer, dans une société qui donne constamment des leçons de morale, que sa redécouverte permettrait de recentrer nos valeurs et de reconstruire un monde en commun ?

De la vertu comme excellence et capacité à agir en conformité avec la raison et le Bien jusqu’à une acception plus moderne empreinte d’accueil et d’ouverture à l’autre, la vertu est une notion clé permettant de faire l’économie de toute moraline.

Proposant des outils essentiels permettant de nous accomplir sur le plan humain et social, la vertu est une éthique de comportement, un idéal de la raison, un but pour l’homme et un guide vers le bonheur.

Ce petit traité philosophique revalorise une notion en partie oubliée. Suivant le fil de la sagesse des Anciens, il se présente comme une pharmacie contre la barbarie et donne quelques éléments pour un nouvel humanisme à venir.

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